une bien belle surprise

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il y a 8 ans

Homme marié, mon couple est très fusionnel. Ma femme et moi sommes très complices et nous adorons les plaisirs charnelles. Ma femme connait tous mes fantasmes et moi les siens.

Bon, il est clair qu'un fantasme doit rester un fantasme et nous n'avons pas la moindre envie de passer nos fantasmes à réalité.

Ma femme m'a pourtant avoué vouloir en réaliser un tout particulièrement, celui de me sodomiser au gode ceinture. Je reconnais ne pas avoir hésité très longtemps avant de lui accorder ce désir qui est devenu plaisir. Le temps de faire des achats et de sélectionner les godes qui permettront d'inverser les rôles, nous voila armés dans notre profond jeu de couple comme beaucoup d'autres au monde.

Il n'est pas rare de voir ma femme s'équiper d'un de ses godes ceinture pour un moment unique de partage et de fusion intime. Je ne regrette vraiment pas de lui avoir accordé ce jeu, cette envie. Très rapidement, elle a sue devenir une amante merveilleuse, très à l'écoute de la réaction de mon corps, de mon désir et de mon plaisir. Oui, j'ai découvert le plaisir anal grâce à cette demande, mais mon seul regret pour le coup, c'est de ne pas l'avoir fait plus tôt dans ma vie.

Nous n'avons pas de rythme régulier dans ce jeu, cette envie. La plus par du temps, c'est ma chérie qui arrive avec son gode ceinture a la taille et je comprends que je vais y avoir droit. Mais il m'arrive de lui préparer son joujou comme pour lui faire comprendre que j'ai envie de lui appartenir, que j'ai envie qu'elle me possède.

Si toutes fois, vous vous posiez la question, non je n'ai jamais sodomisé ma femme, car elle n'en a pas la moindre envie. J'ai toujours trouvé dommage qu'elle me le fasse et moi pas, mais je respecte totalement son choix en la matière.

Ce soir, lorsque je rentre du travail, elle est déjà présente (ce qui est très rare) et surtout déjà équipée de son gode ceinture. La voir ainsi parée, ne tarde pas à faire monter le désir en moi. Pourtant, cette fois-ci, le jeu est différent. Elle me fixe des ordres très clair et très strict à suivre sans discuter. "Déshabille toi et vite" sur un ton qui n'autorise pas la moindre discussion possible. Une fois nu, elle ne me laisse pas le moindre temps mort. Un "à genoux et suce moi" vient donner le ton de la soirée. Je suis très amusé par sa posture et sa prise d'initiative. Je tente de le lui faire savoir mais a peine lui dis-je "et bien qu'est ce qui t'a..." qu'elle me met une gifle plus symbolique de douloureuse. Son regard est ferme et autoritaire. Un peu inquiet et réellement surpris, je demande une explication.

"- Mais qu'est ce qui te prends?

  • (D'une voix ferme et décidée) Ce soir, je ne suis pas ta femme, mais ta Maîtresse. Je veux te dominer comme une petite femelle de ton style ce doit de l'être. C'est bien d'aimer ce faire prendre comme une petite salope, mais ce soir, je vais t'apprendre à te comporter comme il ce doit. Donc, je t'interdis de parler sans y être autorisé, pas question non plus de désobéir sinon, je te punie. Maintenant suce moi comme une bonne chienne pour mériter ta sodomie."

Totalement surpris par ce personnage qu’elle joue, j’obéis presque machinalement. Je saisie son « sexe » et je commence à la sucer pour la première fois depuis que nous avons ses godes ceinture. Cette situation m’excite vraiment et je suis en totale érection. Dans ma tête, les idées se bouscule et ça ne plait pas du tout a ma femme qui m’agrippe les cheveux, me retire son sexe de la bouche et me mets en garde.

« Qu’est ce que tu me fais la? Tu ne ferais pas bander le moindre mec avec ta pipe. Tu as intérêt à y mettre plus de rythme et beaucoup plus d’entrain sinon, tu risque de le regretter pour tout le week-end. Applique-toi femelle. »

Elle relâche mes cheveux pour me replacer la bouche devant son gode. Cette fois, je donne le meilleur de moi sur la fellation. Je me concentre vraiment sur sa demande.

Au bout d’un bon quart d’heure, elle m’ordonne de me relever et de la suivre vers la chambre. Il est l’heure de passer à la casserole comme il nous arrive de dire très régulièrement. Sauf que, dans la chambre, ce trouve des vêtements ou plutôt, des sous-vêtements féminins. Et ma crainte a la vue de cet attirail ce confirme avec l’ordre de ma femme, « mets ces sous-vêtements et dépêche-toi ». Je ne veux pas la provoquer et j’obéis. Un soutien gorge, un string assorti, un porte-jarretelles également assorti ainsi que des bas et une paire de talon aiguille qu’elle ajoute alors que je ne les avais pas vus. Une fois mis en tenue, mon sexe est si tendu que j’en ai mal au ventre. Je réponds a l’ordre de m’allonger sur le lit et sur le dos et pendant qu’elle m’attache chevilles et poignets au lit en prenant soin de bien m’écarter les membres, elle me place un bandeau sur les yeux et un bâillon en bouche.

Je suis totalement sous son contrôle. Mon excitation est maximale et elle ne manque pas de me remarquer que la situation semble me plaire.

« Et bien, je vois que ça te plait d’être dominé. Sache que je te prépare ce coup plusieurs mois déjà. Mais que tu es loin d’avoir tout vu. Tout ce week-end, tu seras ma salope soumise et j’attends de toi une obéissance aveugle et sans discussion. Tu resteras habillé en femme et j’ai prévue ce qu’il te faut pour faire très femme. Si tu obéis bien et que tu es le mérite, demain soir, tu auras une très grosse récompense qui te comblera de plaisir et de bonheur. Mais en attendant, interdiction de te dérober de ton statut de femelle soumise et pas le droit de jouir. Cette nuit, tu dormiras attaché et en sous-vêtements de femelle. Maintenant, je vais te sodomiser pour bien te mettre dans ton rôle. »

Doucement dans un premier temps, puis plus rapidement et enfin très franchement, elle me pilonne sans que je puisse m’échapper ou me soustraire a sa volonté. J’avoue prendre un réel plaisir simplement frustré que je ne puisse évacuer la pression de mon plaisir. Après cette longue séance sodomie, elle m’attache à un lit annexe réservé aux « amis » pour la nuit. Je peux bouger, mais je ne peux pas me retourner ni atteindre mon sexe. Evidemment, la nuit est longue et les rares moments où je réussis à m’endormir, mes rêves sont très érotiques pour ne pas dire plus chaud. Le lendemain, elle vient me détacher. Après un petit déjeuner que j’ai préparé, j’ai le droit à une bonne douche mais sous son contrôle. Ensuite, je remets mes sous-vêtements féminins et une robe plus une perruque. Je me sens vraiment ridicule, mais elle ne me quitte pas des yeux. Je n’ai pas la moindre occasion de libérer cette folle pression latente en moi. Toujours dans mon rôle de soumis(e), je remplis des taches ménagères plus basic comme passer l’aspirateur, faire la vaisselle ou repasser. Rien de bien réjouissant. Mais j’obéis car je veux vraiment voir cette récompense. Bien que la journée est longue, elle finie par touché a sa fin et ma femme vient me féliciter.

« - Et bien, il semblerait que la surprise a remplie son rôle et t’a fait devenir une parfaite femme soumise le temps d’un week-end. Donc, chose promise, chose due, tu vas être récompensée ce soir. Mais avant ça, je vais juste te poser une question. Tu aimes tant que ca te faire sodomiser attaché comme je l’ai fait hier soir?

  • Oui, c’était vraiment incroyable cette sensation.

  • Bien, alors je vais t’attacher à nouveau pour ta sodomie du soir. Monte sans rien dire, je ne veux pas t’entendre jusqu’à nouvel ordre. »

Je touche au but et rien ne me fera craquer. Je veux cette surprise que je touche du bout des doigts. Dans la chambre, elle me bande les yeux et m’attache les mains et les chevilles. Mais contrairement a hier, je suis sur le ventre avec le cul cambré pour une bonne sodomie. Je commence à craindre que cette surprise ne soit qu’une sodomie mais je préfère attendre. Ne voyant rien, je trouve le temps long entre le moment ou elle m’a mis en place et le moment ou elle m’ordonne de la sucer. Bon ok, elle a prit son temps pour s’équiper de son gode ceinture. Les mains attachés a la structure du lit tout comme les chevilles, je suis a genoux, le cul bien cambré prêt a l’emploi. J’ouvre ma bouche pour permettre a Maîtresse de placer son gode ceinture dans ma bouche mais, la surprise est immense et je prends peur.

« Ne bouge pas et ne dis pas un mot. Oui, tu vas sucer un homme. C’est une vraie queue que tu as en bouche. Mais la surprise ne serait pas totale sans une 2ème pour ton cul si gentiment offert. (A ce moment la, je sens qu’on me sodomise et il m’est facile de dire que ce n’est pas ma femme). Voila, te voila pris comme une bonne femelle. C’est la surprise que je t’ai préparée depuis plusieurs mois. Tu vas te comporter en bonne femelle et bien soulager tes 2 partenaires. Et si tu obéis bien, tu auras le droit à l’immense récompense que je t’ai promis hier. Car oui, la surprise et la récompense ne sont pas la même chose. Maintenant, je vais te libérer les mains pour que tu puisses sucer ton partenaire de la meilleure des façons. Tu as compris ? (Je fais un oui de la tête) Parfait, allez-y messieurs, cette salope est a vous, défonce la bien. »

Je ne reconnais pas les voix des hommes présents lorsqu’ils ont répondus « Merci » à ma femme sur le faite d’être offert à leurs sexes. Certes nous avions parlé une seule fois de remplacer un jour ses godes ceinture par un homme histoire de. Je pensais a un fantasme de ma femme et surtout, le faite d’en avoir parlé qu’une seule fois m’a juste laissé pour sentiment d’une idée lié a l’excitation du moment. Une idée sans lendemain, très loin de la sodomie que je reçois et de la pipe que je fais.

Les mains libres, et totalement offert à ces inconnus, je ne pense qu’au plaisir de la situation. Je suce avec gourmandise ce sexe pendant que mon 2eme partenaire ne se prive pas d’aller butter au fond de mon anus, ses couilles contre ma peau. Ma femme me félicite d’être aussi chienne, aussi salope, et elle me lance des « t’aime ca hein ? » Les râles du premier me fond craindre le pire, sentiment vite concret quand je reçois son sperme dans le fond de ma gorge. Ne pouvant l’avaler, je laisse ce plaisir couler le long de mon menton et de mes joues. Mais ma femme ne m’autorise pas à arrêter ma pipe pour autant, je dois le remettre en forme pour qu’il m’encule a son tour. Je n’ai pas trop de soucis pour qu’il retrouve une forte érection et lorsque Maîtresse parle, c’est pour les inviter à inverser les places. J’entends pour la première fois le bal des capotes ce qui me rassure sur le rapport anal protégé. Rapidement je me retrouve avec une nouvelle pipe à faire et ma première impression est que celle-ci est nettement moins grosse et moins longue que l’autre puis je prends peur car l’autre va me sodomiser. A peine cette remarque qu’il pousse sans trop de ménagement m’arrachant un cri de stupeur mais pas de douleur. Je ne me suis pas trompé, il est plus fort que le premier. Pourtant, le plaisir est toujours si fort que j’accueil cette nouvelle sodomie sans soucis. Je suce mon l’autre homme avec toute la force du désir que me procure la sodomie et l’effet est sans appel, nouvelle éjaculation dans le fond de la bouche. Quelle belle surprise malgré tout. Maîtresse me détache et finie la soirée avec le bouquet final.

« Bien, je vois que tu as pris un pied d’enfer avec ma double surprise, j’en suis heureuse. Maintenant, place a ta récompense de soumise pour ton bon week-end. Tu vas avoir droit que je t’offre mes talents buccal pendant que tes 2 amants s’occupent de moi. Mais attention, interdiction d’enlever ton bandeau, d’enlever ton bâillon que je vais te mettre pour t’empêcher de parler et n’espère pas voir nos amants en moi. Si tu te pose la question : est-ce que je vais me faire prendre en double pénétration, la réponse est oui et je ne vais pas m’en priver. Pendant que je te suce, si tu dois éjaculer, pas la peine de me prévenir. De toute façon, tu ne pourras pas parler. Tu ne verras pas non plus si j’avale ou non ton offrande, je te laisse imaginer tout comme tu devras imaginer la double que je vais m’offrir. Bon place à mon plaisir. »

Le trouble m’envahit mais le désir est toujours aussi fort. Beaucoup de bruit et de mouvements autour de moi sans que je sache ou ils en sont et enfin, ma femme commence sa fellation. Je suis au chaud dans sa bouche et rapidement, j’entends son souffle qui s’accélère. Elle retire mon sexe pour me confirmer qu’elle est bien prise de chaque coté. Les coups de reins qu’elle reçoit, imprime le rythme de la fellation qu’elle me fait. Je suis à la fois frustré de ne pas la pénétrer et heureux de cette pipe qu’elle me fait tant elle est déchainée. Je ne la reconnais plus et mon plaisir lâché, elle ne s’arrête pas pour autant. Sa jouissance bruyamment exprimé me confirme qu’elle jouie comme jamais.

Puis la situation ralentie, puis s’arrête. Je suis à nouveau attaché à une chaise pendant que j’entends vaguement parlé en bas. Le bruit de la douche confirme que la soirée touche à sa fin et après le départ de ces 2 inconnus pour moi, Maîtresse vient me libérer totalement. Toujours en forme, nous faisons l’amour.

Alors qu’elle me refuse une nouvelle fois la possibilité de la sodomiser, elle m’explique que ce n’est pas un accès pour une femelle soumise et qu’a partir de ce week-end, compte tenu de mon réel plaisir exprimé, j’allais devoir assumer une belle vie faite de douce soumission et de sodomie faites par ses 2 amants qu’elle est aime a dire. Je ne tarde pas a éjaculer en elle comme pour confirmer que j’ai vécu un week-end inoubliable.

Les semaines suivantes, ma femme est redevenue celle que j’aime, sans scénario, ni amants, mais jusqu'à quand ?

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